49 jours je compterai pour toi – C. S. Quill

Résumé :

Quand l’amour se vit en 49 jours…
1… 2… 3…

Chaque matin, depuis qu’elle a rencontré Sawyer Hall, Breen inscrit un nouveau chiffre dans sa paume. Le compte à rebours est lancé, comme la fuite inéluctable du temps qu’elle voudrait pourtant maîtriser.
15… 16… 17…

Breen souhaiterait pouvoir retenir les jours qui filent pour profiter des sentiments qui refont enfin surface. Mais elle le sait, son cœur ne cesse jamais de compter.
47… 48… 49…

Alors qu’elle ne sait pas aimer plus de 49 jours, Sawyer sera-t-il celui qui libérera son coeur ?

Mon avis :

Les éditions Hugo nous parlent de ce livre depuis de nombreux mois. Forcément cela a attisé ma curiosité… Le résumé ne dévoile finalement pas grand chose mais cette couverture est sublime, il ne m’en fallait pas plus pour craquer à Livre Paris où il était en avant-première. En plus c’est un one shot et je préfère parce que j’ai une fâcheuse tendance à ne pas finir les sagas (les héritiers, Et puis soudain, Orion…).
En commençant ma lecture je ne m’attendais pas à un tel déversement d’émotions. Chronique d’un coup de cœur, que dis-je un coup de foudre !

Breen rencontre Sawyer lors d’une exposition photo. Entre eux l’attirance et l’alchimie est immédiate et évidente. Commence alors une belle histoire d’amour qui coule de source. Mais Breen le sait, son cœur ne peut aimer que 49 jours… Les jours défilement, le décompte a commencé et rien ne pourra empêcher cette fin inéluctable. Et si Sawyer était celui qui la sauvera ?

Je ne sais pas comment vous parler de cette lecture tant elle m’a bouleversée et chamboulée. Je me suis lancée à corps perdu dans ce roman sans savoir que j’allai y perdre mon cœur, que je n’en sortirai pas indemne.
C’est une romance, oui, mais c’est surtout une histoire d’amour entre Breen et Sawyer bien sûr mais aussi entre Breen et Will. Will dont nous ne savons rien mais qui hante encore Breen, 5 ans plus tard. Nous oscillons constamment entre passé et présent, entre Will et Sawyer. 49 jours pour découvrir l’histoire bouleversante de Breen.

La plume de l’auteure est envoutante pleine de poésie et de mélancolie. Le suspense est omniprésent, nous ne comprenons p)as qui est Will. Mes neurones ont chauffées, je me suis creusée les méninges et à la moitié du roman, une illumination (me demandez pas comment je ne sais pas). Ça y est j’ai découvert ce que Breen cache, toutes mes certitudes ont volé en éclat, ma vision du roman a été chamboulée. J’ai changé de perspective. Une grosse claque. Si c’est vraiment ce que je pense, mon cœur va s’arrêter de battre. J’étais bien loin de la réalité, il s’est brisé en mille morceaux. J’ai encore du mal à parler de ces émotions qui m’ont submergées quelques jours après avoir fermé ce roman.

Ce roman est une ode à la vie, une ode à l’amour. J’ai été touchée en plein cœur par l’histoire poignante de Breen, mais aussi par la façon dont C. S. Quill l’amène. Tout est pensé, notamment le tatouage de Breen. C’est une histoire qui me hantera très longtemps tant elle est forte. J’ai vibré, j’ai crié, j’ai pleuré. J’ai savouré chaque ligne, chaque mot…Une romance qui a de l’âme tout comme son héroïne si touchante, si fragile.

Je vais m’arrêter là parce qu’il faut que vous découvriez par vous même pourquoi le cœur de Breen ne peut aimer que 49 jours…

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Énorme coup de cœur pour cette histoire d’amour hors du commun ! 49 jours pour aimer, 49 jours pour compter.  Quand l’amour se vit en 49 jours…
1… 2… 3… le décompte a commencé…